Pastorale

Nul besoin d’être théologien pour s’engager dans la Pastorale. Dans cette structure très encadrée, les parents catéchètes sont accompagnés, encouragés et soutenus tout au long de l’année. En septembre, les nouveaux arrivants sont accueillis par les équipes de la pastorale et se familiarisent avec les thèmes qu’ils auront à aborder au cours de l’année. « Je n’avais jamais fait de pastorale avant, je ne me sentais pas spécialement douée pour ça, confie Sophie Musy, aujourd’hui responsable de la pastorale de niveau 6e. « Mais c’était l’occasion, en tant que parents, de donner un sens concret à mon engagement, au-delà de l’inscription des enfants ».

Le parent animateur n’est pas laissé seul face à l’organisation de ses interventions, puisque le programme de chaque séance a déjà été élaboré en amont, et ce, quelle que soit la division. Il doit uniquement veiller à s’approprier les textes à l’étude, et réfléchir à la manière de l’enrichir de manière plus personnelle, pour y imprimer son vécu et sa sensibilité, comme chrétien mais aussi comme femme ou homme d’aujourd’hui.

A raison d’environ une heure d’animation par semaine, à laquelle s’ajoute une heure de préparation de la séance, l’engagement dans la pastorale est tout à fait compatible avec un mode de vie actif. Les horaires du matin à 8h30, et les séances du samedi matin, autorisent les parents qui le souhaitent à concilier les impératifs de la vie professionnelle avec leur engagement dans la catéchèse.

D’un point de vue personnel, participer à la pastorale est l’occasion de se replonger dans les textes, avec davantage de recul, mais aussi d’approfondir son cheminement dans la foi. C’est également l’assurance de moments d’émotions et de rencontres, avec les élèves comme avec les parents ou le personnel encadrant.

Pour Vincent Binot, responsable de la pastorale de seconde et catéchète à Saint Louis de Gonzague-Franklin depuis dix ans, la pastorale offre l’occasion « de faire le point sur ses propres convictions chrétiennes ou de les réapprofondir, mais aussi de mieux comprendre les adolescents, ce qui est fort utile pour les relations avec ses propres enfants ».

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